Après Raphaël Glucksmann en avril, c’est François-Xavier Bellamy qui a révélé, lundi, avoir fait l’objet d’une tentative de cyberattaque émanant d’un groupe considéré comme lié au gouvernement chinois. Une nouvelle illustration des menaces d’ingérences étrangères dans la campagne des élections européennes auxquelles sont confrontés les partis politiques.