Cédant aux revendications des gangs, d’une partie de la population et de la communauté internationale, le Premier ministre haïtien Ariel Henry a démissionné lundi. Cependant, le vide institutionnel qui règne depuis des mois en Haïti ne permet pas d’entrevoir à brève échéance un retour au calme dans l’île. Face à une vague inédite de violences, quelles perspectives politiques son départ offre-t-il ?