Il y a trois mois le président du Niger, Mohamed Bazoum à été renversé par des militaires putschistes. Le coup d’état a suscité de vives critiques de la communauté internationale ainsi que la majorité des membres de la CEDEAO – qui réclament un retour à l’ordre constitutionnel – refusé par les militaires.  Résultat : le pays est depuis début août sous sanctions de la CEDEAO, tandis que l’Europe et les États-Unis ont coupé leur aide.