À l’instar de l’Union africaine, la Cédéao a condamné mercredi « la tentative de coup d’État au Niger » et appelé « les auteurs de cet acte » à libérer le président Mohamed Bazoum. De son côté, l’Union européenne a condamné, par la voix de son chef de la diplomatie, « toute tentative de déstabiliser la démocratie et [de] menacer la stabilité » du pays.