Alors que la guerre fait rage entre les paramilitaires du général Mohamed Hamdan Dagalo, dit « Hemedti », et l’armée régulière dirigée par le général Abdel Fattah Al-Burhane, le secrétaire général de l’ONU a mis en garde mardi contre le risque d’une déstabilisation régionale. Selon les experts, l’implication de l’Égypte, de l’Éthiopie, de l’Arabie saoudite ou des Émirats arabes unis, pourrait aggraver la situation et prolonger le conflit au Soudan.