La guerre d’Algérie, 60 ans après, est toujours au cœur des mémoires qui saignent, selon l’expression consacrée de l’historien Benjamin Stora.Comment réconcilier les mémoires, peut être en passant par les nouvelles générations. A Marseille, les jeunes issus de cette histoire tentent de se comprendre plutôt que de raviver les plaies.