Détenu depuis neuf mois pour accusation de viol et d’espionnage, le journaliste marocain Omar Radi a interrompu sa grève de la fin pour raisons de santé, a annoncé sa famille vendredi. Entamée il y a 21 jours, le militant des droits humains, emprisonné dans son pays, espérait obtenir sa remise en liberté provisoire.